ISRAEL D'APRES LEURS PROPHETIE DOIVENT FAIRE CE QU'ILS FONT POUR L' "ARMAGEDON" ET LES CHRETIENS DOIVENT SOUTENIR ISRAEL D'APRES DES ECRITS BIBLIQUES LE MASSACRE DES MUSULMANS PEUT DONC COMMENCER. (il faut empecher les gens de voir les vrais musulmans et de lire le Coran.La guerre médiatique et la désinformations sur l'Islam...)les vrais extrémistes de plusieurs sectes judéo-chrétiennes sont trés influents de part le mondes hélas...leurs but casser les musulmans
avant la venu de Jésus et trouver une montagne d'or en irak pour
rebattir un ancien palais du prophétes Salomon voilà un résumé de leurs prophétie judéo chrétiennes mais ils ont oublié quelque chose.
voici l'ignoble liste des camps de tortures israeliens (sans droit ni loi)
les camps d’Ofer
Les camps Ketziot
Les Camps palestiniens de Sabra
Les Camps Chatila
Centres de détention Hadarem
Centres de détention Ohly Kidar
Les prisons coloniales Al-Ramla
Les prisons coloniales Nafha
Les prisons coloniales Hasharon
Les prisons coloniales Jalbour
Les prisons coloniales Almaskoubiya
La prison coloniale Aoufar
la prison coloniale Awfar
les camps d’Ofer ( Depuis le début de la seconde intifada, en septembre 2000 et jusqu’en avril 2003, plus de 28000 Palestiniens ont été incarcérés dans les prisons ou camps de prisonniers. En avril 2003, il avait plus de 5500 prisonniers. Les arrestations ont augmenté dès janvier 2002 et connu une croissance fulgurante avec la mise en œuvre du Plan « mur de protection » en mars/ avril 2002. La FIDH note que la question des prisonniers palestiniens est enfin à l’ordre du jour depuis les discussions autour de la « feuille de route ».Les arrestations se déroulent le plus souvent aux checkpoints, lors des incursions israéliennes dans les villes et villages des Territoires occupés, aux points de contrôle frontaliers ou par kidnapping.« dans d’autres pays le processus en cours serait qualifié de nettoyage ethnique, mais quand il s’agit d’Israël on s’abstient d’utiliser ce type de language » ... » Si la communauté internationale est incapable de faire quoi que ce soit, il ne faut pas s’étonner si les peuples de la planète ne croient pas que nous soyons sérieusement préoccupés de promouvoir les droits humains. » un enquêteur pour le compte des Nations Unies depuis 2001, a rétorqué : « Israël viole les lois internationales telles qu’elles sont représentées par le Conseil de sécurité et la Cour Internationale de Justice, et reste impuni. » ... « Alors c’est le peuple Palestinien qui est maintenant puni pour avoir démocratiquement élu un régime [le Hamas] que les Etats-Unis, Israël et l’Union Européenne ne veulent accepter. )
Les camps Ketziot ( Israël ne reconnaît pas aux prisonniers palestiniens, le statut de prisonniers de guerrre. Dans la pratique, des ordres militaires israéliens régissent les conditions de détention et notamment le régime de la détention administrative qui permet de détenir une personne jusqu’à 6 mois renouvelables sans obligation de jugement, une personne peut rester des mois sans voir un avocat.Les prisonniers ne peuvent pas recevoir de visite de leur famille. En outre, les conditions de défense des prisonniers sont très préoccupantes, différents organismes n’ont pas obtenu l’autorisation de visiter les camps de détention, les conditions d’hygiène sont très préoccupantes. Les femmes sont également détenues dans des conditions extrêmement difficiles.La mission exprime sa préocupation quant à la détention de mineurs - à partir de 12 ans - (325 mineurs prisonniers en avril 2003), qui sont souvent détenus sans séparation avec les adultes.La mission a également recueilli des témoignages de mauvais traitements, de tortures et de pressions psychologiques.La FIDH s’inquiète également de la quasi-impunité des forces armées israéliennes.)
Les Camps palestiniens de Sabra (L'armée israélienne a capturé le journaliste Nael Mahmoud Nakhla, âgé de 29 ans, alors qu’il était chez lui, dans le village de Shakaba, à l’ouest de Ramallah et de Bira en Cisjordanie. Des témoins oculaires ont vu l’armée détruire sa maison et l’emmener.Nakhla travaille au centre médiatique des prisonniers et aussi pour le journal local « Al-Qods » (Jérusalem), pour la chaîne d’informations internationale « Al-Jazeera » et pour quelques sites internet arabophones.)
Les Camps Chatila (Hisham AbdELRAZZAK, membre du conseil législatif et ex-ministre des affaires des prisonniers, dit : « Le camp «israélien» se comporte avec les prisonniers palestiniens en désaccord avec le traité international et avec le quatrième traité de Genève et s’est créé son propre système juridique. De plus, le pays «israélien» et les Etats-Unis soutiennent le fait que les terres occupées après 1967 appartiennent pleinement aux «israéliens» et que donc il n’ y a pas d’injustice faite lors de l’occupation de ces terres ».)
Centres de détention Hadarem (La prison « Hadarem » est la première accusée de maltraitance envers les prisonniers palestiniens, dont le traitement n’est pas humain. Le prisonnier Tamer Alrimaoui, habitant la région de Beit Rima, proche de Ramallah, nous raconte que son état de santé est critique, et qu’il a besoin d’une radiographie de son crâne depuis quatorze mois déjà. Il dit aussi que dans la prison de « Jalbour », l’état sanitaire est inimaginable. Le cas du prisonnier Riyad Zakariya Rasila, habitant Jérusalem occupée, et condamné à la perpétuité plus cinq ans, est particulièrement parlant : trois de ses dents sont tombées suite aux coups subis ; il souffre de maux aux dents et a besoin de placer de nouvelles dents, mais il nous dit qu’il n’ y a aucun soin donné en prison, et qu’un dentiste ne peut être consulté qu’à l’extérieur de la prison. )
Centres de détention Ohly Kidar ( la direction de détention a privé le prisonnier Souhail Mahmoud Houssein Abed, habitant la ville de Qalqilia, des visites de sa famille ; il raconte qu’il subit aussi des fouilles de manière continuelle pour des raisons sans fondement, le traitement non humain des gardes et de toute l’équipe, la vie dans des locaux comme des placards, et se plaint enfin du désintéressement total des organisations humanitaires et des droits de l’Homme à la situation de cette prison.
L’ensemble des prisonniers ont affirmé : « il n’ y a qu’un médecin pour toute une prison, qui nous répond toujours que le seul remède efficace contre toutes les maladies est le Kamol. De plus, l’ophtalmologue, par exemple, ne passe qu’une fois tous les trois mois. » )
Les prisons coloniales Al-Ramla (La diffusion de maladies de la peau dans la prison est aujourd’hui un phénomène tellement important que la vie des prisonniers est en jeu. Le prisonnier Naji assure que les responsables de la prison n’ont fait que très peu pour ces malades-là, et que le médicament donné aux prisonniers n’agit pas contre cette infection.
Les prisonniers malades souffrent de conditions très difficiles, même dans les prisons disposant de centre de soin interne, comme El-Ramla, et un chaos général y règne ; ceux qui nécessitent un séjour à l’ hôpital n’y sont pas conduits, même dans les hôpitaux israéliens).
Les prisons coloniales Nafha (... les forces d’occupation israélienne dans les prisons israéliennes et les camps d’internement, selon le quotidien Washington Post.Dans l’article publié par le Washington post, ’’ les prisonniers palestiniens ont été exposés aux mesures horribles de torture où ils sont obligés de rester debout durant des jours subissant la chaleur du soleil où du froid, maintenu lier sur des chaise sans dos, écouter de la musique très bruyante, empêcher d’utiliser les toilettes’’...)
Les prisons coloniales Hasharon (Les prisonniers surnommés les lions courageux de la prison de « Hasharon » souffrent de la vie dans de petites cages en guise de chambre, d’isolation du monde extérieur. Plus de quatre-vingt prisonniers sont logés dans le même département de cette prison !
Les prisonniers précisent qu’il faut lutter pour que des vivres de base soient introduits dans la prison « Hasharon », et cela prend un temps très long, pendant lequel les prisonniers souffrent du besoin de ces vivres indispensables. Il faut en plus, nous disent les prisonniers, que les responsables fassent pression pour que ces éléments arrivent jusqu’ à eux.)
Les prisons coloniales Jalbour (l’ONG "Defence for Children International - Palestine section", indiquent que 80% des enfants palestiniens arrêtés ont subi la torture, ont reçu des coups, ont été privés d’alimentation et de sommeil, ont subi le shabeh (positions diverses debout ou assis, provoquant des maux de dos), l’aspersion par l’eau, les insultes,les menaces, les mises en isolement au cours des interrogatoires...La malnutrition est généralisée, la négligence médicale aussi, les enfants manquent de vêtements, de médicaments, d’aliments, et surtout de la visite de leurs parents, ils sont parfois privés de récréation, tout en étant constamment battus.)
Les prisons coloniales Almaskoubiya (Des membres du groupe « Nakhshon » ont réussi à pénétrer dans certaines chambres de la prison « Almaskoubiya » à Jérusalem occupée, et ont roué de coups les prisonniers. Le prisonnier Ayed Houchiyya, âgé de 34 ans, habitant la ville de Bethléem et emprisonné le 25 Juillet 2005, raconte qu’une cellule de « Nakhshon » a encore blessé quinze prisonniers, en les rouant de coups, les frappant au visage et en les jetant hors de leurs cellules.
« Nakhshon » est un mouvement nazi-sioniste. Une de ses brigades spéciales a réussi à pénétrer le centre de détention central de « Askalan », qui contient huit cents prisonniers palestiniens, en donnant comme raison la provocation suivante : « ils n’ont pas fêté le retrait « israélien » de la bande de Gaza »… La prisonnière Rahida Mohammed JadALLAH, habitante de Naplouse, raconte que les responsables de la prison font tout pour semer la discorde entre les prisonnières, et qu’ ils n’hésitent pas à lancer du gaz dans la cour si des tensions sont senties chez les prisonnières. L’utilisation du gaz a provoqué la suffocation d’un nourrisson de deux ans dans les bras de sa mère… )
La prison coloniale Aoufar (La direction de la prison coloniale « Aoufar », située au Sud de RamALLAH, a ordonné le déplacement de cinquante prisonniers vers le centre de détention « Al-Naqab » situé dans le désert. Les prisonniers précisent que les nouveaux prisonniers ont été répartis dans toutes les parties de la prison, ce qui a rendu encore plus petit l’espace personnel dont dispose le prisonnier. Les tentes spéciales qui servent de cellules dans cette prison du désert contenaient vingt-deux prisonniers, et aujourd’hui, il y a plus de trente prisonniers qui se partagent l’espace disponible dans une unique tente.)
(l’ensemble des prisonniers sont réparti dans plus de vingt huit centre de détention,camp, prisons et poste de contrôle possédant une infrastructure d’« accueil ».)( vingt pour cent de la population palestinienne qui vit en Palestine on fait de la prison)(Le ministère palestinien des affaires des prisonniers et des libérés a révélé dans son rapport du 11 juin dernier que les forces de l’occupation ont arrêté près de 2000 enfants de moins de 18 ans depuis le début de l’Intifada al-Aqsa.)